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Lampole vous aime!
12 avril 2007

La vie à Lampoleland: Jean-Jacques Biroute, ce héros méconnu.

Ne résistant pas à vous narrer les exploits de nos brillants sportifs, je me dois de vous parler de Jean Jacques Biroute, notre Jean Alesi National. Tout petit, JJB, comme nous l'apelons affectueusement ici à Lampoleland, a developpé une veritable passion pour les engins a moteur, quels qu'ils soient, avec les risques non négligeables que cela comporte. Ainsi, a l'âge précoce de 7 ans, il s'arrache une (ou un, je ne sais plus tres bien) testicule (le droit), en confondant sa mini-voiture teleguidée avec la tondeuse à barbe de papa Biroute. cet incident lui vaudra le sobriquet du "Lance Armstong Lampolelandais", chose assez absurde lorsque l'on sait que Lance Armstrong (le vrai, celui qui ne se dope pas...) à, lui, dans un petit bocal sur sa cheminée, sa testicule gauche... Mais je m'égare un peu du sujet de cet article, à savoir, la carrière exceptionelle de JJB. Titulaire du permis de conduire B dès l'age de 18 ans, il s'achete sa première SKODA sport (celle avec la balle de tennis sur l'attache-remorque), et profite des grands grèves de 1995 pour forcer un barrage à plus de 78km/h, ce qui est exceptionnel au vu du modèle de voiture qu'il a entre les mains. les professionels du sport moteur Lampolelandais ne s'y trompent pas et dès sa sortie de prison, il est engagé dans le championnat de Kart sous les couleurs du team UMP-Suzuki. Suite a une erreur incomprehensible d'un juge de piste, il est déclaré vainqueur du championat dès sa première année. Cette victoire lui ouvre les portes de la F1. Le 18 juillet 1999 marque donc une étape importante dans la vie du jeune homme qui se voit offrir le volant de la Suzuki F1, moteur V8. Il s'empresse alors d'en orner la cheminée de la maison familliale à Bourg St Meurisse. Mais c'est l'année suivante que JJB courra son premier (et unique a ce jour) grand prix de Formule 1. Et dans son cas, le terme "Courir" est tout à fait adequat. Ayant calé sur la grille de départ, et, pris par le stress, n'arrivant pas a remettre la machine en route, c'est pour répondre aux injonctions pressantes de son directeur de course, qu'après 2min50, il sort de son cocpit et rejoint les stands au pas de course, préssé par le bruit des autres voitures qui le frolent au premier passage sur la ligne. JJB ne serait donc pas resté dans l'historie du sport automobile si la voiture qu'il venait de laisser au beau milieu de la piste n'avait provoqué le plus grand carambolage connu a ce jour en grand prix. Ce n'est pas les familles des 12 pilotes victimes ni des 48 spectateurs qui me contrediront si j'affirme que le nom de Jean Jacques Biroute à marqué a tout jamais, l'histoire du sport mecanique. Image Hosted by ImageShack.us Cette image nous montre JJB lors de son arrivée à l'hopital psychiatrique de Gastuche, où il réside depuis.
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